Piketty, Les Echos et les fanatiques de la propriété
Il y a certainement à boire et à manger dans les 1 200 pages du dernier essai des Thomas Piketty. On ne fait pas une si grosse omelette sans casser quelques œufs et s’attirer les critiques. Mais il y a longtemps qu’un travail académique n’avait provoqué des réactions aussi épidermiques, et pour (…)